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La situation financière des départements français se dégrade à une vitesse alarmante. Prises en étau entre l’explosion des dépenses sociales, les obligations imposées par l’État et la chute brutale des recettes, notamment celles liées à l’immobilier, de nombreuses collectivités n’ont plus d’autre choix que d’opérer des coupes drastiques. Et ce sont les habitants, les associations et les services publics qui en subissent les conséquences directes.
Selon Départements de France, plus de la moitié des départements seront dans le rouge d’ici fin 2025. Le président de l’association, François Sauvadet, prévient : « On ne peut plus faire face. Et ce sont les Français qui vont payer la facture ». La Cour des comptes confirme ce constat inquiétant.
La Gironde incarne l’ampleur du problème : 97 millions d’euros de déficit, frôlant la mise sous tutelle. Dans tout le pays, les politiques non obligatoires sont sacrifiées :
fermetures de centres de santé sexuelle (comme dans la Drôme),
réduction des subventions au Planning familial (Loiret),
coupes massives dans la culture (Ille-et-Vilaine, Hérault),
aide aux associations en chute libre,
collèges regroupés ou fermés face à la baisse démographique.
Un baromètre récent indique que 64 % des départements ont réduit leur budget culture. Et dans la lutte contre les violences faites aux femmes, la Fondation des femmes évoque un « recul majeur » du soutien départemental, un choc d’autant plus important que ces collectivités en sont les principaux financeurs.
Dans l’Aude, la présidente Hélène Sandragné dit refuser les coupes brutales, privilégiant une gestion minutieuse, tout en admettant avoir dû revenir à la limite de prise en charge de l’enfance fixée à 18 ans.
Dans l’Aisne, les budgets consacrés au sport, à l’environnement et à la culture sont sévèrement réduits. Même les routes et les collèges – compétences centrales – sont touchés. « C’est une bombe à retardement », reconnaît l’exécutif local.
En Haute-Marne, Nicolas Lacroix (LR) va plus loin : selon lui, il faut couper dans tout ce qui n’est pas strictement obligatoire, des aides aux communes au soutien au monde associatif ou agricole. Il questionne même certains dispositifs sociaux, comme le cumul RSA / autoentrepreneuriat.
Dans les Deux-Sèvres, Coralie Denoues (DVD) a choisi une autre voie : rémunérer certaines associations environnementales pour prestation plutôt que via des subventions, et fermer deux collèges, assumant un choix impopulaire mais, selon elle, indispensable.
Derrière ces décisions, c’est toute l’architecture du service public local qui tremble :
moins de structures culturelles, moins d’accompagnement social, moins de soutien aux associations, moins de présence publique dans les zones rurales.
Une spirale qui pourrait laisser des territoires entiers sans ressources, sans vivre-ensemble, sans tissu associatif… et sans réponses aux besoins des plus fragiles.
Dans un pays déjà marqué par une forte défiance politique, cette vague d’austérité imposée aux départements pourrait devenir, elle aussi, une bombe sociale.
Écrit par: Premium Radio
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