Une nouveauté à la principauté

Ce mercredi 26 novembre marque un tournant dans le paysage social de la Principauté avec l’adoption d’un texte qui introduit pour la première fois un mécanisme formel permettant à un employeur et à un salarié du privé de mettre fin à un contrat à durée indéterminée, ensemble et sans conflit un dispositif fondé sur l’idée que parfois, bien se séparer vaut mieux que s’user à continuer lorsqu’aucune des deux parties ne le souhaite réellement encore mais qu’aucune alternative légale claire n’existait jusqu’ici pour encadrer une fin mutuellement consentie dans des conditions sûres un vide juridique désormais comblé par un cadre procédural structuré qui garantit la volonté commune, la protection des droits de chacun et une issue contractualisée basée sur le consentement explicite et l’équilibre des intérêts une réforme conçue pour éviter que la fin d’une collaboration professionnelle ne soit forcément douloureuse, administrative ou subie mais puisse aussi devenir un choix réfléchi, validé, structuré et juridiquement reconnu un texte porté par le mot accord, qui en devient l’ossature centrale puisque sans acceptation véritable des deux côtés rien ne peut être engagé ni validé une loi saluée pour ce qu’elle représente une option complémentaire dans l’arsenal du droit du travail, sécurisée, volontaire, formelle, sous contrôle et défendue comme un outil de fluidité sociale dans un pays où l’emploi privé en CDI est la norme pour beaucoup de travailleurs et d’entreprises qui attendaient une solution respectueuse et claire pour encadrer le moment de tourner la page ensemble, sans litige et avec un consentement protégé par la loi, validé par les institutions et ancré dans le contrat comme un choix responsable et équilibré dans un cadre protégé et désormais possible à Monaco lorsqu’un partenariat professionnel peut se conclure parce que les deux côtés sont d’accord de le faire, ensemble, sereinement et légalement.