C’est une histoire qui a de quoi surprendre. À Nice, un père de famille a reçu une amende après que son fils de deux ans a uriné discrètement derrière un arbre dans le parc Vigier, faute de toilettes publiques sur place.
Comme chaque mercredi, Romain se promenait avec son fils Raphaël lorsqu’une envie pressante s’est manifestée. Incapable de se retenir et ne trouvant aucune installation sanitaire à proximité, l’enfant a été aidé par son père pour se soulager discrètement. Pourtant, deux agents de surveillance de la voie publique (ASVP) sont intervenus et ont dressé un procès-verbal de 68 euros pour « miction d’un enfant dans un parc ».
La famille, interloquée par la situation, a dénoncé une décision absurde. L’affaire a rapidement fait réagir, et le chef de la police municipale a présenté ses excuses. Le PV va être annulé, et une procédure disciplinaire a été engagée contre l’agent verbalisateur. Une affaire qui rappelle qu’au-delà des règlements, un minimum de bon sens est parfois nécessaire.
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