Ce week-end, la saison de Formule 1 prend un tournant historique avec le coup d’envoi du Grand Prix d’Australie. Pour Charles Leclerc, ce n’est pas seulement une nouvelle saison qui débute, mais l’entrée dans une toute autre dimension. La raison ? Un coéquipier hors normes : Lewis Hamilton, septuple champion du monde.
Après six saisons sous les couleurs de la Scuderia, Leclerc affiche huit victoires au compteur. Un palmarès respectable mais loin des attentes que suscite son immense talent. Ferrari, en quête de renouveau sous la direction de Frédéric Vasseur, mise sur une dynamique de progression, et l’arrivée d’Hamilton en est le symbole fort. À 40 ans, l’ancien pilote Mercedes ne vient pas pour jouer les seconds rôles. Il rêve d’un huitième titre mondial, celui qui lui a échappé de justesse en 2021 face à Max Verstappen.
Cette cohabitation entre l’enfant prodige de Monaco et la légende britannique promet d’être explosive. Leclerc, habitué à être la figure centrale de l’équipe, devra composer avec la présence médiatique et l’expérience d’Hamilton. Un défi qui pourrait être une opportunité : se mesurer au meilleur pour enfin atteindre le sommet.
Alors, cette saison 2025 marquera-t-elle l’émancipation définitive de Charles Leclerc ou sera-t-elle l’année où Hamilton imposera une dernière fois sa loi ? Premiers éléments de réponse ce dimanche, au premier virage de Melbourne.
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