La fermeture du parc Marineland ne marque pas la fin des revendications pour l’association One Voice, qui était présente devant l’établissement lors de son dernier jour d’activité. Pour les militants, il ne s’agit pas d’une célébration, mais d’un moment d’inquiétude face à l’avenir des animaux. Selon Muriel Arnal, présidente fondatrice de l’association, "le parc envisage de disperser les animaux captifs dans divers delphinariums européens et internationaux, leur imposant un avenir incertain."
One Voice milite pour une alternative claire : transformer Marineland en un parc d’attractions sans animaux, permettant de préserver les emplois tout en offrant aux pensionnaires du parc une retraite digne dans des refuges ou sanctuaires. Ce modèle s’inscrirait dans l’esprit de la loi, évitant que les animaux soient à nouveau soumis à la captivité.
Pour l’association, cette fermeture n’est donc qu’une étape dans un combat plus large pour mettre fin à l’exploitation animale dans les parcs de loisirs.
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