Face à la fermeture pour travaux de 15 mois de la ligne Nice-Breil, les défenseurs du rail ont rencontré la sous-préfète Nice Montagne. Leur objectif : maintenir une circulation ferroviaire réduite et conserver le poste de chef de service à la gare de Breil.
Les arguments avancés incluent les risques d’éboulements sur les routes, l’incertitude des temps de trajet en bus, et l’impact sur la vie locale et le tourisme. Le maintien d’une circulation ferroviaire limitée coûterait 10 millions d’euros supplémentaires, potentiellement réductibles.
La sous-préfète, sensible aux arguments, notamment sur la sécurité, devrait faire remonter ces préoccupations. Un nouveau rendez-vous pourrait être programmé après la prochaine commission intergouvernementale.
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