À Trente, dans le nord-est de l'Italie, un restaurateur a vécu une expérience bouleversante lors d'un cambriolage survenu le 4 juillet dernier. Après avoir dérobé 1.300 euros de la caisse, le voleur a laissé trois post-it jaunes, demandant pardon au propriétaire et expliquant être toxicomane et avoir désespérément besoin d'argent.
Malgré le préjudice subi, le restaurateur a été touché par cette démarche inhabituelle. Le fait que le cambrioleur ait pris le risque d'être arrêté pour laisser ces mots prouve, selon lui, qu'il "en avait vraiment besoin". De plus, le voleur n'a causé que peu de dégâts matériels.
Ému par cette prise de conscience, le propriétaire a décidé d'offrir une seconde chance à cet homme. Il a annoncé son intention de lui proposer un emploi, à condition que le cambrioleur accepte d'être arrêté, de purger sa peine et de présenter des excuses. Malheureusement, opérant à visage masqué, le voleur repenti n'a pas encore été identifié et reste introuvable pour le moment.
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